V comme Viroflay
- Nadège Cresson Généalogie
- il y a 2 jours
- 2 min de lecture

Viroflay (Yvelines), une autre ville très présente dans la famille CRESSON/CHOPPIN.
Mais vous le verrez par la suite, la maison de Viroflay aurait pu rester dans la famille, mais bon les histoires d'héritage sont passées par là !
La maison de Viroflay, appelée aussi maison Turque a été acquise par Pauline BOURSY épouse CHOPPIN la mère d'Alice CHOPPIN? par un acte notarié en date du 29 mars 1960.

Lors de cette vente, Pauline était veuve de M. CHOPPIN depuis 1 an.
Voici la description de ladite maison:




Quel a été le prix de cette vente ? : 28 300 francs.


André en parle plusieurs fois de cette maison.

Cette propriété est restée dans la famille jusqu'en 1895, année de décès de Pauline BOURSY épouse CHOPPIN.

Les années 1870 furent marquées par la Commune, Ernest fut Préfet de police de novembre 1870 à février 1871, peu de temps certes, mais cela la profondément marqué, comme l'indique André.


Nous reparlerons de l'oncle Abel. (frère d'Alice CHOPPIN)


Comme déjà indiqué pour la lettre U, c'est à Viroflay (dans le jardin) qu'eut lieu la première entrevue entre Jeanne et Albert.



Les rencontres arrangées.... Là il s'agit de mon arrière arrière grand-père Paul et de mon arrière arrière grand-mère Simone. Viroflay, c'est LE lieu de rencontre ! C'était en 1893/1894, car leur mariage a été célébré le 10 novembre 1894.

Puis vint le décès de Pauline BOURSY épouse CHOPPIN, le 18 janvier 1895.

Et comme l'indique André, cette disparition eut pour la famille des conséquences graves.

Ah Abel ! Il avait ajouté à son nom de famille, le nom de son épouse (HAUDRY) de JANVRY. Bon, autant vous dire que cela n'était pas super bien passé dans la famille CHOPPIN.
Et la maison fut donc vendue !

La description de la maison de campagne en 1895 (ce n'était pas petit) :



Paul y est né le 12 septembre 1867.


André en garde un sentiment amère !

Quand André et Marguerite (Got) se sont installés à Nantes, vers 1900, ils avaient un peu de Viroflay avec eux.

Et pour terminer, la graphiste qui s'est occupée de mon logo, demeure à Viroflay.


Demain, je vous emmène à la gare Montparnasse, mais pourquoi donc ?







Je me reconnais en André quand il décrit la maison après avoir été vendue. Quand j'ai vu qu'on avait coupé le petit sapin de mon grand-père, j'ai crié au sacrilège ! Il faut l'accepter mais nos souvenirs restent attachés aux lieux.
Perdre cette maison de famille pour 500F, je n'ose pas imaginer leur frustration et leur dépit...
Quelle tristesse que cette maison ait été ainsi vendue !